Le Mélèze est le symbole d’un nouveau départ.
Sachez que je suis insensible aux flammes, et mon aubier me protège des incendies. Je suis l'arbre parfait pour extraire de votre corps exaspération, emportement, courroux, et dissiper ressentiment et aigreur.
Reprenez confiance, réapprenez la douceur et la patience. Ne soyez plus dans l’impatience et l’irascibilité, cela ne donne jamais de bons fruits. Songez plutôt à exprimer vos talents enfouis et vos dons naturels, cela sera bien plus profitable. Effacez les doutes, la crainte d'échouer ou de ne pas être à la hauteur, détendez-vous, reprenez pied, grandissez, retrouvez le cours de l'intériorité et de la détermination, autorisez-vous à être.
Chez les peuples sibériens, il joue à ce titre le rôle d'Arbre du monde, le long duquel descendent le soleil et la lune, figurés par des oiseaux d'or et d'argent. Associé à la lune seule, il a parfois aussi - comme le cyprès en Europe - un caractère funèbre."
Dans les Alpes bavaroises et au Tyrol, les jeunes cônes, lorsqu'ils sont poisseux et d'un beau rouge violacé, sont brûlés sur des réchauds contre les sorts, le mauvais œil.
Les naturalistes regardent le Mélèze comme le géant de la végétation . Cet arbre croit sur les plus hautes montagnes , où il s'élève à une élévation prodigieuse.. On dirait que ces beaux arbres ont été disposés exprès pour donner au désert l'étonnant spectacle des plus magnifiques feux d'artifice.
Cet arbre s'élève jusqu'à cent pieds et passe pour être le géant des arbres de l'Europe. Son bois rougeâtre, quoique léger, est plus dur que celui du sapin ; on l'emploie pour les charpentes, les constructions navales et dans la tonnellerie. C'est lui qui a fourni, dit-on, les premiers pilotis pour la fondation de Venise. Son écorce astringente est bonne pour le tannage des cuirs, et il en suinte une résine liquide connue sous le nom de térébenthine de Venise qui est très estimée et sa fleur est préparée pour "Pour ceux qui ne se considèrent pas aussi bons ou capables que ceux qui les entourent, qui s’attendent à l’échec, qui ont le sentiment qu’ils ne réussiront jamais et donc ne font pas de tentative ou ne font pas d’efforts suffisants pour réussir."